À deux jours de l’entrée en lice de la Mannschaft à l’EURO 2020 contre la France (mardi soir à 21h00), les défenseurs Antonio Rüdiger et Lukas Klostermann ont répondu aux questions en conférence de presse.
Antonio Rüdiger au sujet…
… du malaise de Christian Eriksen : Ce qui s’est passé à Copenhague était un choc pour nous tous. Dieu merci, il est dans un état stable. Je lui souhaite un bon rétablissement et beaucoup de force à sa famille.
… de l’équipe de France : Sur le papier, la France a l’air plus forte. Mais c’est sur le papier. Nous les laissons être favoris, il est vrai qu’ils ont de bons attaquants. De notre côté, il faudra savoir jouer salement à l’occasion, et envoyer un signal rapidement. Nous avons les qualités nécessaires et nous sommes prêts.
… de sa réputation de « guerrier » : Mon jeu a toujours été comme ça. Les choses se passent bien pour moi ces derniers temps, mon équipe a gagné la Ligue des champions, et tout le monde se sent soudain obligé de me désigner comme tel. Je n’ai pourtant pas changé ma façon de jouer.
… de sa progression personnelle et d’attaques contre lui : C’était humainement important pour moi de quitter la Bundesliga, et d’apprendre une autre langue par exemple. Concernant les attaques, j’ai eu à y faire face toute ma vie, ça n’a donc pas beaucoup changé pour moi.
… de son modèle Jérôme Boateng : Jérôme est comme mon grand frère. Il a toujours été là pour moi et il l’est encore aujourd’hui. Quand je ne jouais pas beaucoup à Chelsea, il me parlait toujours. Pour moi, il reste un défenseur de classe mondiale. Si j’en suis un moi-même ? J’ai certes gagné la Ligue des champions, mais c’est aux autres de juger si je suis un joueur de classe mondiale.
… de sa famille comme source de motivation : Le plus important pour moi sera toujours ma famille. Tout ce que j’ai fait jusqu’à aujourd’hui, je l’ai fait pour elle. Je voulais sortir ma famille de la pauvreté grâce au football, et lui offrir une vie meilleure. Ma famille me motive toujours.
Lukas Klostermann au sujet…
… du malaise de Christian Eriksen : C’était un véritable choc pour nous tous. Ce sont des images qu’il faut d’abord digérer. On était d’autant plus soulagé d’entendre les bonnes nouvelles par la suite, et c’était donc plus facile de s’entraîner aujourd’hui.
… des Jeux Olympiques 2016 : Sportivement, l’EURO est un cran au-dessus. L’EURO est mon premier très grand tournoi, même si les Jeux Olympiques 2016 étaient quelque chose de très spécial.
… de l’équipe de France :Nous nous sommes bien préparés à affronter la France ces dernières semaines. Ce sera un grand défi, mais nous sommes ici pour en relever. Je sens beaucoup de volonté et d’optimisme dans l’équipe et j’attends ce match avec un bon pressentiment.
… de la concurrence avec Joshua Kimmich au poste de latéral droit : Joshua est un joueur de classe mondiale. Chacun est venu ici avec la ferme intention d’aider l’équipe en étant sur le terrain, mais le collectif passe avant le reste. L’entraîneur doit décider ce qui est le mieux pour l’équipe.
… des trois joueurs qui seront absents de la feuille de match : En tant que joueur, on en est conscient, mais on ne veut pas y penser. C’est dommage que le règlement oblige trois joueurs à prendre place en tribune. Ce n’est pas une décision facile à prendre, surtout pour l’entraîneur.
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À deux jours de l’entrée en lice de la Mannschaft à l’EURO 2020 contre la France (mardi soir à 21h00), les défenseurs Antonio Rüdiger et Lukas Klostermann ont répondu aux questions en conférence de presse.
Antonio Rüdiger au sujet…
… du malaise de Christian Eriksen : Ce qui s’est passé à Copenhague était un choc pour nous tous. Dieu merci, il est dans un état stable. Je lui souhaite un bon rétablissement et beaucoup de force à sa famille.
… de l’équipe de France : Sur le papier, la France a l’air plus forte. Mais c’est sur le papier. Nous les laissons être favoris, il est vrai qu’ils ont de bons attaquants. De notre côté, il faudra savoir jouer salement à l’occasion, et envoyer un signal rapidement. Nous avons les qualités nécessaires et nous sommes prêts.
… de sa réputation de « guerrier » : Mon jeu a toujours été comme ça. Les choses se passent bien pour moi ces derniers temps, mon équipe a gagné la Ligue des champions, et tout le monde se sent soudain obligé de me désigner comme tel. Je n’ai pourtant pas changé ma façon de jouer.
… de sa progression personnelle et d’attaques contre lui : C’était humainement important pour moi de quitter la Bundesliga, et d’apprendre une autre langue par exemple. Concernant les attaques, j’ai eu à y faire face toute ma vie, ça n’a donc pas beaucoup changé pour moi.
… de son modèle Jérôme Boateng : Jérôme est comme mon grand frère. Il a toujours été là pour moi et il l’est encore aujourd’hui. Quand je ne jouais pas beaucoup à Chelsea, il me parlait toujours. Pour moi, il reste un défenseur de classe mondiale. Si j’en suis un moi-même ? J’ai certes gagné la Ligue des champions, mais c’est aux autres de juger si je suis un joueur de classe mondiale.
… de sa famille comme source de motivation : Le plus important pour moi sera toujours ma famille. Tout ce que j’ai fait jusqu’à aujourd’hui, je l’ai fait pour elle. Je voulais sortir ma famille de la pauvreté grâce au football, et lui offrir une vie meilleure. Ma famille me motive toujours.
Lukas Klostermann au sujet…
… du malaise de Christian Eriksen : C’était un véritable choc pour nous tous. Ce sont des images qu’il faut d’abord digérer. On était d’autant plus soulagé d’entendre les bonnes nouvelles par la suite, et c’était donc plus facile de s’entraîner aujourd’hui.
… des Jeux Olympiques 2016 : Sportivement, l’EURO est un cran au-dessus. L’EURO est mon premier très grand tournoi, même si les Jeux Olympiques 2016 étaient quelque chose de très spécial.
… de l’équipe de France :Nous nous sommes bien préparés à affronter la France ces dernières semaines. Ce sera un grand défi, mais nous sommes ici pour en relever. Je sens beaucoup de volonté et d’optimisme dans l’équipe et j’attends ce match avec un bon pressentiment.
… de la concurrence avec Joshua Kimmich au poste de latéral droit : Joshua est un joueur de classe mondiale. Chacun est venu ici avec la ferme intention d’aider l’équipe en étant sur le terrain, mais le collectif passe avant le reste. L’entraîneur doit décider ce qui est le mieux pour l’équipe.
… des trois joueurs qui seront absents de la feuille de match : En tant que joueur, on en est conscient, mais on ne veut pas y penser. C’est dommage que le règlement oblige trois joueurs à prendre place en tribune. Ce n’est pas une décision facile à prendre, surtout pour l’entraîneur.
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