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Mondial féminin : tout ce qu’il faut savoir

Ce soir débute la huitième édition de la coupe du monde de football féminin, qui a lieu en France. Les Allemandes joueront leur premier match demain face à la Chine, à Rennes (15h). Voici quelques informations à connaître avant le début de la compétition :

Vue d’ensemble : C’est la deuxième coupe du monde à 24. Les participantes seront divisées en six groupes de quatre équipes. Les deux premières de chaque groupe, ainsi que les quatre meilleurs troisièmes seront qualifiées pour les huitièmes de finale. Les neuf villes retenues qui accueilleront la compétition sont Paris, Lyon, Montpellier, Nice, Rennes, Le Havre, Grenoble, Reims et Valenciennes. Le match d’ouverture, entre la France et la Corée du Sud, aura lieu au Parc des Princes, et la finale au Parc OL, à Lyon.

Des habitués et des nouveaux visages : l’Ecosse, le Chili, la Jamaïque, et l’Afrique du Sud se sont qualifiés pour la première coupe du monde de leur histoire. À contrario pour les Allemandes, les Américaines, les Norvégiennes, les Japonaises, les Suédoise et les Brésiliennes, il s’agira de la huitième participation. Ce sont les équipes ayant le plus souvent disputé la compétition

La Mannschaft souveraine : L’Allemagne a validé son billet pour le mondial en France en remportant sept de ses huit matchs de qualification. Les joueuses de Martina Voss-Tecklenburg ont été impressionnantes, aussi bien défensivement qu’offensivement. Au total, elles ont marqué 38 buts et n’en ont encaissés que trois. Aucune équipe ne présente un meilleur bilan.

Equipes les plus titrées : Avec trois victoires (1991, 1999, 2015), ce sont les Etats-Unis qui comptent pour l’Instant le plus de coupes du monde à leur actif. La Mannschaft, lauréate en 2003 et 2007, est pour l’instant la seule nation à avoir réussi à conserver son titre. Concernant le nombre de finales disputées, les Etats-Unis sont là aussi en tête (4) juste devant l’Allemagne (3)

Expérience : Parmi les joueuses sélectionnées par Martina Voss-Tecklenburg pour disputer le mondial, huit étaient déjà présentes au Canada en 2015. Alexandra Popp avait à l’époque pris part à toutes les rencontres. Leonie Maier, Sara Däbritz, Lena Goeßling, Melanie Leupolz et Dzsenifer Marozsan avaient également été utilisées à plusieurs reprises. Seules les deux gardiennes remplaçantes Almuth Schult et Laura Benkarth n’étaient pas rentrées une seule fois en jeu.

Place à la jeunesse : En 2015, au Canada, cinq joueuses comptaient plus de 100 sélections à leur actif. Cette année, ce n’est le cas que de Lena Goeßling (104). C’est l’une des deux seules joueuses âgée de plus de 30 ans, avec Verena Schweers. À l’opposée, Lena Oberdorf (18 ans), et Klara Bühl (19 ans) sont les plus jeunes joueuses de l’effectif.

Sept joueuses du Bayern : Le club le plus représenté au sein de la Mannschaft sera le Bayern Munich, avec sept joueuses sélectionnées. Derrière, on retrouve le SGS Essen (5) et le champion d’Allemagne, le VfL Wolfsburg (4). À noter également la présence des deux championnes d’Europe lyonnaises Carolin Simon et Dzsenifer Marozsan.

Allemagne-USA : L’Allemagne et les Etats-Unis dominent le foot féminin. Depuis la première édition, l’une de ses deux nations a toujours atteint la finale du mondial. Les Américaines ont marqué jusqu’à présent 11 buts en 43 matchs de coupe du monde, contre 111 en 39 matchs pour les Allemandes.

Le pays d’accueil : Les bleues ont réalisé leur meilleure performance en 2011 en atteignant les demi-finales. Pour l’édition qui débute, disputée à domicile, la sélectionneuse Corine Diacre a fixé comme objectif rien de moins que la victoire finale. La France est actuellement 4e au classement FIFA, derrière l’Angleterre (3e), l’Allemagne (2e), et les USA (1e).

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Ce soir débute la huitième édition de la coupe du monde de football féminin, qui a lieu en France. Les Allemandes joueront leur premier match demain face à la Chine, à Rennes (15h). Voici quelques informations à connaître avant le début de la compétition :

Vue d’ensemble : C’est la deuxième coupe du monde à 24. Les participantes seront divisées en six groupes de quatre équipes. Les deux premières de chaque groupe, ainsi que les quatre meilleurs troisièmes seront qualifiées pour les huitièmes de finale. Les neuf villes retenues qui accueilleront la compétition sont Paris, Lyon, Montpellier, Nice, Rennes, Le Havre, Grenoble, Reims et Valenciennes. Le match d’ouverture, entre la France et la Corée du Sud, aura lieu au Parc des Princes, et la finale au Parc OL, à Lyon.

Des habitués et des nouveaux visages : l’Ecosse, le Chili, la Jamaïque, et l’Afrique du Sud se sont qualifiés pour la première coupe du monde de leur histoire. À contrario pour les Allemandes, les Américaines, les Norvégiennes, les Japonaises, les Suédoise et les Brésiliennes, il s’agira de la huitième participation. Ce sont les équipes ayant le plus souvent disputé la compétition

La Mannschaft souveraine : L’Allemagne a validé son billet pour le mondial en France en remportant sept de ses huit matchs de qualification. Les joueuses de Martina Voss-Tecklenburg ont été impressionnantes, aussi bien défensivement qu’offensivement. Au total, elles ont marqué 38 buts et n’en ont encaissés que trois. Aucune équipe ne présente un meilleur bilan.

Equipes les plus titrées : Avec trois victoires (1991, 1999, 2015), ce sont les Etats-Unis qui comptent pour l’Instant le plus de coupes du monde à leur actif. La Mannschaft, lauréate en 2003 et 2007, est pour l’instant la seule nation à avoir réussi à conserver son titre. Concernant le nombre de finales disputées, les Etats-Unis sont là aussi en tête (4) juste devant l’Allemagne (3)

Expérience : Parmi les joueuses sélectionnées par Martina Voss-Tecklenburg pour disputer le mondial, huit étaient déjà présentes au Canada en 2015. Alexandra Popp avait à l’époque pris part à toutes les rencontres. Leonie Maier, Sara Däbritz, Lena Goeßling, Melanie Leupolz et Dzsenifer Marozsan avaient également été utilisées à plusieurs reprises. Seules les deux gardiennes remplaçantes Almuth Schult et Laura Benkarth n’étaient pas rentrées une seule fois en jeu.

Place à la jeunesse : En 2015, au Canada, cinq joueuses comptaient plus de 100 sélections à leur actif. Cette année, ce n’est le cas que de Lena Goeßling (104). C’est l’une des deux seules joueuses âgée de plus de 30 ans, avec Verena Schweers. À l’opposée, Lena Oberdorf (18 ans), et Klara Bühl (19 ans) sont les plus jeunes joueuses de l’effectif.

Sept joueuses du Bayern : Le club le plus représenté au sein de la Mannschaft sera le Bayern Munich, avec sept joueuses sélectionnées. Derrière, on retrouve le SGS Essen (5) et le champion d’Allemagne, le VfL Wolfsburg (4). À noter également la présence des deux championnes d’Europe lyonnaises Carolin Simon et Dzsenifer Marozsan.

Allemagne-USA : L’Allemagne et les Etats-Unis dominent le foot féminin. Depuis la première édition, l’une de ses deux nations a toujours atteint la finale du mondial. Les Américaines ont marqué jusqu’à présent 11 buts en 43 matchs de coupe du monde, contre 111 en 39 matchs pour les Allemandes.

Le pays d’accueil : Les bleues ont réalisé leur meilleure performance en 2011 en atteignant les demi-finales. Pour l’édition qui débute, disputée à domicile, la sélectionneuse Corine Diacre a fixé comme objectif rien de moins que la victoire finale. La France est actuellement 4e au classement FIFA, derrière l’Angleterre (3e), l’Allemagne (2e), et les USA (1e).

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