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L’Allemagne arrache le nul 2-2 face à la France

C’est un adversaire de taille que l’équipe de Joachim Löw a affronté ce mardi soir à Cologne. Au terme d’une rencontre d’égal à égal et très riche en actions offensives, la France et l’Allemagne se sont quittées sur un score de parité (2-2) alors que les Bleus pensaient tenir la victoire jusqu’à la dernière minute. Alexandre Lacazette a inscrit un doublé (34e/71e) tandis que Timo Werner (57e) et Lars Stindl (90e+3) ont égalisé à deux reprises pour la Mannschaft.

Désireux de profiter des matchs face à la France et l’Angleterre (vendredi dernier à Wembley, 0-0) pour voir de nouveaux joueurs à l’œuvre, Joachim Löw lance une nouvelle équipe inédite au coup d’envoi avec six nouvelles têtes par rapport au match face aux Three Lions. Kevin Trapp est titulaire dans les buts pour la première fois depuis le mois de mai 2017, la défense est fortement remaniée et passe à quatre joueurs tandis que deux titulaires habituels, Toni Kroos et Sami Khedira, signent leur retour au milieu de terrain : Trapp - Can, Hummels, Süle, Plattenhardt - Kroos, Khedira (C) - Gündogan, Özil, Draxler – Werner.

La France brille, Trapp impressionne

Le début de rencontre est équilibré et les deux équipes se procurent rapidement des occasions de prendre l’avantage. C’est Mesut Özil qui ouvre le bal en mettant Steve Mandanda à contribution (3e) tandis que Blaise Matuidi se procure la première occasion française, mais l’ancien partenaire de Julian Draxler au PSG rate le cadre de peu (8e).

Par la suite, l’équipe de France fait étalage de sa force de frappe offensive et met la Mannschaft sous pression. Kevin Trapp, remplaçant au Paris Saint-Germain, fait taire ses détracteurs en détournant superbement des tentatives d’Alexandra Lacazette (19e) et Kylian Mbappé (32e) ; capitaine à Wembley face à l’Angleterre, Mats Hummels doit s’interposer en dernier recours devant Mbappé (12e) et Anthony Martial (31e). La France parvient finalement à faire sauter le verrou allemand grâce à Lacazette à la suite d’une superbe action collective : sur une transversale de Blaise Matuidi, Lucas Digne centre sans contrôle pour Anthony Martial qui crochète superbement Niklas Süle avant de servir l’attaquant d’Arsenal, esseulé devant le but vide (34e).

L’équipe d’Allemagne se réveille mais ni Werner (38e/41e) ni Draxler (40e) ne concrétisent. Elle se montrera plus dangereuse après la pause, lors de laquelle Joachim Löw décide de lancer Antonio Rüdiger à la place de Hummels.

Lars Stindl sur le fil

Et c’est justement le défenseur de Chelsea qui se procure la première grosse occasion de la deuxième période : suite à un bon travail de Draxler côté gauche, Rüdiger rate le cadre sur sa reprise à bout portant (53e). Quelques minutes plus tard, la Mannschaft égalise grâce à Timo Werner, parfaitement lancé en profondeur par Özil à la suite d’un contre qui n’aura duré que quelques secondes (57e). La France se ressaisit immédiatement et Trapp réalise sa troisième parade décisive du match sur une frappe de Martial (58e).

Les matchs entre deux grandes équipes se jouent sur des détails et les deux derniers buts de la soirée en sont de parfaits exemples. À la 70e minute, Toni Kroos propulse un coup franc sur la barre transversale de Steve Mandanda ; sur l’action qui suit, Lacazette permet aux Bleus de reprendre l’avantage sur un service parfait de Mbappé dans le dos de la défense (71e). En toute fin de match, Martial se retrouve absolument seul face dans la surface mais manque sa tentative face à un Kevin Trapp décidément impérial (89e) ; sur la dernière action de la rencontre, Mario Götze remet instantanément une passe d’Özil dans la course de Lars Stindl, qui prend Mandanda à contre-pied (90e+3).

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C’est un adversaire de taille que l’équipe de Joachim Löw a affronté ce mardi soir à Cologne. Au terme d’une rencontre d’égal à égal et très riche en actions offensives, la France et l’Allemagne se sont quittées sur un score de parité (2-2) alors que les Bleus pensaient tenir la victoire jusqu’à la dernière minute. Alexandre Lacazette a inscrit un doublé (34e/71e) tandis que Timo Werner (57e) et Lars Stindl (90e+3) ont égalisé à deux reprises pour la Mannschaft.

Désireux de profiter des matchs face à la France et l’Angleterre (vendredi dernier à Wembley, 0-0) pour voir de nouveaux joueurs à l’œuvre, Joachim Löw lance une nouvelle équipe inédite au coup d’envoi avec six nouvelles têtes par rapport au match face aux Three Lions. Kevin Trapp est titulaire dans les buts pour la première fois depuis le mois de mai 2017, la défense est fortement remaniée et passe à quatre joueurs tandis que deux titulaires habituels, Toni Kroos et Sami Khedira, signent leur retour au milieu de terrain : Trapp - Can, Hummels, Süle, Plattenhardt - Kroos, Khedira (C) - Gündogan, Özil, Draxler – Werner.

La France brille, Trapp impressionne

Le début de rencontre est équilibré et les deux équipes se procurent rapidement des occasions de prendre l’avantage. C’est Mesut Özil qui ouvre le bal en mettant Steve Mandanda à contribution (3e) tandis que Blaise Matuidi se procure la première occasion française, mais l’ancien partenaire de Julian Draxler au PSG rate le cadre de peu (8e).

Par la suite, l’équipe de France fait étalage de sa force de frappe offensive et met la Mannschaft sous pression. Kevin Trapp, remplaçant au Paris Saint-Germain, fait taire ses détracteurs en détournant superbement des tentatives d’Alexandra Lacazette (19e) et Kylian Mbappé (32e) ; capitaine à Wembley face à l’Angleterre, Mats Hummels doit s’interposer en dernier recours devant Mbappé (12e) et Anthony Martial (31e). La France parvient finalement à faire sauter le verrou allemand grâce à Lacazette à la suite d’une superbe action collective : sur une transversale de Blaise Matuidi, Lucas Digne centre sans contrôle pour Anthony Martial qui crochète superbement Niklas Süle avant de servir l’attaquant d’Arsenal, esseulé devant le but vide (34e).

L’équipe d’Allemagne se réveille mais ni Werner (38e/41e) ni Draxler (40e) ne concrétisent. Elle se montrera plus dangereuse après la pause, lors de laquelle Joachim Löw décide de lancer Antonio Rüdiger à la place de Hummels.

Lars Stindl sur le fil

Et c’est justement le défenseur de Chelsea qui se procure la première grosse occasion de la deuxième période : suite à un bon travail de Draxler côté gauche, Rüdiger rate le cadre sur sa reprise à bout portant (53e). Quelques minutes plus tard, la Mannschaft égalise grâce à Timo Werner, parfaitement lancé en profondeur par Özil à la suite d’un contre qui n’aura duré que quelques secondes (57e). La France se ressaisit immédiatement et Trapp réalise sa troisième parade décisive du match sur une frappe de Martial (58e).

Les matchs entre deux grandes équipes se jouent sur des détails et les deux derniers buts de la soirée en sont de parfaits exemples. À la 70e minute, Toni Kroos propulse un coup franc sur la barre transversale de Steve Mandanda ; sur l’action qui suit, Lacazette permet aux Bleus de reprendre l’avantage sur un service parfait de Mbappé dans le dos de la défense (71e). En toute fin de match, Martial se retrouve absolument seul face dans la surface mais manque sa tentative face à un Kevin Trapp décidément impérial (89e) ; sur la dernière action de la rencontre, Mario Götze remet instantanément une passe d’Özil dans la course de Lars Stindl, qui prend Mandanda à contre-pied (90e+3).

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