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Gündogan : « Assez fier de moi »

Ilkay Gündogan est obligé de tousser à plusieurs reprises lors de son interview d’après-match. « Il faisait très froid dehors » s’excuse-t-il avec le sourire, peu de temps après son grand retour en match officiel sous les couleurs de Manchester City. Mis à part la température, aucune raison de se plaindre pour le joueur de la Mannschaft : lors de la large victoire 6 à 0 des siens sur la pelouse du FC Watford samedi après-midi, Gündogan est entré en jeu à la 66e minute, neuf longs mois après sa grave rupture des ligaments croisés subie en décembre 2016, également face à Watford.

« Pour être honnête, je suis assez fier de moi » a-t-il concédé. « Ce n’était pas ma première longue absence due à une blessure mais j’ai toujours cru en moi. » Le carnet de santé du milieu de terrain de 26 ans est en effet aussi rempli que déprimant. Au Borussia Dortmund, il avait déjà dû s’absenter pendant plus d’un an à cause de sérieux problèmes au niveau des vertèbres lombaires ; il manqua pour cette raison la Coupe du monde au Brésil, en 2014. En mai 2016, il se disloque la rotule droite et laisse l’équipe d’Allemagne disputer l’EURO 2016 sans lui.

Malgré ce nouveau coup dur, l’entraîneur des Citizens Pep Guardiola le veut absolument et le fait venir en Angleterre à l’été 2016. En Premier League, Gündogan fait une excellente première partie de saison et son nouveau positionnement offensif décidé par Guardiola lui permet de se montrer plus dangereux qu’auparavant. Jusqu’à ce que ses ligaments croisés le lâchent. « Je ne sais pas ce que j’ai fait pour mériter ça » écrira-t-il au manager général de l’équipe d’Allemagne, Oliver Bierhoff.

« Jouer au football comme je l’aime »

Hier, Gündogan a officiellement démarré ce qui est peut-être la saison la plus importante de sa carrière, celle qui lui permettra ou non de disputer, enfin, une Coupe du monde. « J’espère rester en forme pour longtemps et jouer au football comme je l’aime » déclare-t-il après la victoire à Watford, dernier match d’une semaine pour le moins réussie du côté de Manchester City : 5-0 contre Liverpool, 4-0 contre le Feyenoord Rotterdam en Ligue des champions et donc 6-0 dans la banlieue nord-ouest de Londres.

L’homme du match, en ce qui concerne les chiffres, a une fois encore été l’attaquant argentin Sergio Agüero, auteur d’un triplé. Déjà buteur face à Liverpool, ce qui l’avait propulsé en tête du classement historique des buteurs étrangers en Premier League, Agüero n’est désormais plus qu’à deux unités d’Eric Brook, meilleur buteur du club avec 177 réalisations entre 1928 et 1939. Pour Guardiola, Agüero est une « légende ». « Il est spécial. C’est une machine à buts » déclare Gündogan à son sujet.

Selon l’ancien joueur de Nuremberg, « une unité » se serait formée au sein de son nouveau club : « Si nous continuons comme cela, nous allons atteindre de très belles choses. » L’une d’entre elles serait certainement qu’il dispute cette saison jusqu’à son terme.

[sid/dfb]

Ilkay Gündogan est obligé de tousser à plusieurs reprises lors de son interview d’après-match. « Il faisait très froid dehors » s’excuse-t-il avec le sourire, peu de temps après son grand retour en match officiel sous les couleurs de Manchester City. Mis à part la température, aucune raison de se plaindre pour le joueur de la Mannschaft : lors de la large victoire 6 à 0 des siens sur la pelouse du FC Watford samedi après-midi, Gündogan est entré en jeu à la 66e minute, neuf longs mois après sa grave rupture des ligaments croisés subie en décembre 2016, également face à Watford.

« Pour être honnête, je suis assez fier de moi » a-t-il concédé. « Ce n’était pas ma première longue absence due à une blessure mais j’ai toujours cru en moi. » Le carnet de santé du milieu de terrain de 26 ans est en effet aussi rempli que déprimant. Au Borussia Dortmund, il avait déjà dû s’absenter pendant plus d’un an à cause de sérieux problèmes au niveau des vertèbres lombaires ; il manqua pour cette raison la Coupe du monde au Brésil, en 2014. En mai 2016, il se disloque la rotule droite et laisse l’équipe d’Allemagne disputer l’EURO 2016 sans lui.

Malgré ce nouveau coup dur, l’entraîneur des Citizens Pep Guardiola le veut absolument et le fait venir en Angleterre à l’été 2016. En Premier League, Gündogan fait une excellente première partie de saison et son nouveau positionnement offensif décidé par Guardiola lui permet de se montrer plus dangereux qu’auparavant. Jusqu’à ce que ses ligaments croisés le lâchent. « Je ne sais pas ce que j’ai fait pour mériter ça » écrira-t-il au manager général de l’équipe d’Allemagne, Oliver Bierhoff.

« Jouer au football comme je l’aime »

Hier, Gündogan a officiellement démarré ce qui est peut-être la saison la plus importante de sa carrière, celle qui lui permettra ou non de disputer, enfin, une Coupe du monde. « J’espère rester en forme pour longtemps et jouer au football comme je l’aime » déclare-t-il après la victoire à Watford, dernier match d’une semaine pour le moins réussie du côté de Manchester City : 5-0 contre Liverpool, 4-0 contre le Feyenoord Rotterdam en Ligue des champions et donc 6-0 dans la banlieue nord-ouest de Londres.

L’homme du match, en ce qui concerne les chiffres, a une fois encore été l’attaquant argentin Sergio Agüero, auteur d’un triplé. Déjà buteur face à Liverpool, ce qui l’avait propulsé en tête du classement historique des buteurs étrangers en Premier League, Agüero n’est désormais plus qu’à deux unités d’Eric Brook, meilleur buteur du club avec 177 réalisations entre 1928 et 1939. Pour Guardiola, Agüero est une « légende ». « Il est spécial. C’est une machine à buts » déclare Gündogan à son sujet.

Selon l’ancien joueur de Nuremberg, « une unité » se serait formée au sein de son nouveau club : « Si nous continuons comme cela, nous allons atteindre de très belles choses. » L’une d’entre elles serait certainement qu’il dispute cette saison jusqu’à son terme.

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