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Gnabry : « J'aime prendre des risques »

Serge Gnabry a rejoint le FC Arsenal à l'âge de 16 ans, puis le Werder Brême à l’âge de 20 ans. Avec le FC Bayern Munich, il jouera face à son ancien club en demi-finale de la Coupe d’Allemagne, mercredi à 20h45. En interview avec DFB.de, Gnabry parle de l'ambiance dans le Weserstadion et de ses performances en Coupe.

DFB.de : D'abord le Borussia Dortmund, puis Schalke 04 : le Werder Brême a déjà fait tomber deux très bons adversaires en Coupe cette saison. Pourquoi son aventure s’arrêterait-elle face au Bayern, M. Gnabry ?

Serge Gnabry : Les matchs de Coupe sont complètement imprévisibles, et le Werder Brême est un adversaire très, très fort en ce moment. Mais si nous jouons comme nous l'avons fait ces deux ou trois dernières semaines, nous pourrons battre le Werder et atteindre la finale.

DFB.de : Ce sera un match spécial pour vous, tout particulièrement ? En 2016/2017, vous avez joué pour le Werder.

Gnabry : Pour moi, la demi-finale de la Coupe est bien sûr un moment très spécial. Brême a été ma première équipe allemande après mon séjour à l'étranger. J'ai passé une excellente année, j’ai encore beaucoup d'amis là-bas. J'attends avec impatience les retrouvailles et je vais profiter de la bonne ambiance qui règne dans ce super stade.

DFB.de : Quel regard portez-vous sur votre année passée à Brême ?

Gnabry : J'ai beaucoup aimé jouer au Werder. Je suis content que tout se passe bien en ce moment pour le club, et je me réjouis aussi de revoir mes vieux amis.

DFB.de : Peu de temps avant votre arrivée à Brême, vous avez fait parler de vous lors des Jeux Olympiques 2016. Vous êtes même devenu le meilleur buteur du tournoi avec six buts. Quelle influence ce tournoi a-t-il eu sur votre carrière ?

Gnabry : Une très grande. J’ai pu jouer de nombreux matchs et montrer de bonnes performances, sachant que de nombreuses personnes ont suivi le tournoi.

DFB.de : Lors d'une entrevue passée, vous vous étiez décrit comme une personne à risque. Comment cela se traduit-il sur le terrain ?

Gnabry : Oui, c'est vrai que j'aime prendre des risques sur le terrain. C'est probablement dans ma nature de ne reculer devant rien.

DFB.de : Cette propension au risque explique-t-elle votre passage du VfB Stuttgart au FC Arsenal à l'âge de 16 ans ?

Gnabry : Certainement. Mais on réfléchit beaucoup avant et on en parle avec beaucoup de personnes et d'amis. Certaines personnes me l’ont également déconseillé, parce que beaucoup l'avaient essayée avant moi à cet âge et avaient échoué. Mais le risque ne m’a pas fait peur et j'ai fait le grand saut. Je me suis dit : tu peux le faire ! J’ai toujours pu bien évaluer mes qualités, et je voulais simplement essayer quelque chose de nouveau. Arsenal a donné une chance à de nombreux jeunes joueurs et les a fait connaitre. Faire ce choix n’a donc pas été difficile.

DFB.de : En raison de votre passage à l'étranger, vous n'avez joué quatre matchs de Coupe jusqu'ici. Pourtant, vous totalisez déjà trois buts. Cette statistique est-elle suffisante pour le titre à Berlin ?

Gnabry : Si on y ajoute deux matchs et deux ou trois buts de ma part, alors ce serait une très bonne statistique. Et si nous pouvions soulever le trophée à Berlin, ce serait tout simplement parfait.

DFB.de : Que signifierait pour vous le titre de DFB-Pokal ?

Gnabry : Ce serait ma deuxième Coupe après ma première en Angleterre. C'est un titre pour lequel il faut travailler dur, on ne peut pas se permettre de faire un faux pas dans cette compétition. Ce serait un rêve d'en faire mon deuxième titre en Allemagne, après le titre de champion.

[DFB]

Serge Gnabry a rejoint le FC Arsenal à l'âge de 16 ans, puis le Werder Brême à l’âge de 20 ans. Avec le FC Bayern Munich, il jouera face à son ancien club en demi-finale de la Coupe d’Allemagne, mercredi à 20h45. En interview avec DFB.de, Gnabry parle de l'ambiance dans le Weserstadion et de ses performances en Coupe.

DFB.de : D'abord le Borussia Dortmund, puis Schalke 04 : le Werder Brême a déjà fait tomber deux très bons adversaires en Coupe cette saison. Pourquoi son aventure s’arrêterait-elle face au Bayern, M. Gnabry ?

Serge Gnabry : Les matchs de Coupe sont complètement imprévisibles, et le Werder Brême est un adversaire très, très fort en ce moment. Mais si nous jouons comme nous l'avons fait ces deux ou trois dernières semaines, nous pourrons battre le Werder et atteindre la finale.

DFB.de : Ce sera un match spécial pour vous, tout particulièrement ? En 2016/2017, vous avez joué pour le Werder.

Gnabry : Pour moi, la demi-finale de la Coupe est bien sûr un moment très spécial. Brême a été ma première équipe allemande après mon séjour à l'étranger. J'ai passé une excellente année, j’ai encore beaucoup d'amis là-bas. J'attends avec impatience les retrouvailles et je vais profiter de la bonne ambiance qui règne dans ce super stade.

DFB.de : Quel regard portez-vous sur votre année passée à Brême ?

Gnabry : J'ai beaucoup aimé jouer au Werder. Je suis content que tout se passe bien en ce moment pour le club, et je me réjouis aussi de revoir mes vieux amis.

DFB.de : Peu de temps avant votre arrivée à Brême, vous avez fait parler de vous lors des Jeux Olympiques 2016. Vous êtes même devenu le meilleur buteur du tournoi avec six buts. Quelle influence ce tournoi a-t-il eu sur votre carrière ?

Gnabry : Une très grande. J’ai pu jouer de nombreux matchs et montrer de bonnes performances, sachant que de nombreuses personnes ont suivi le tournoi.

DFB.de : Lors d'une entrevue passée, vous vous étiez décrit comme une personne à risque. Comment cela se traduit-il sur le terrain ?

Gnabry : Oui, c'est vrai que j'aime prendre des risques sur le terrain. C'est probablement dans ma nature de ne reculer devant rien.

DFB.de : Cette propension au risque explique-t-elle votre passage du VfB Stuttgart au FC Arsenal à l'âge de 16 ans ?

Gnabry : Certainement. Mais on réfléchit beaucoup avant et on en parle avec beaucoup de personnes et d'amis. Certaines personnes me l’ont également déconseillé, parce que beaucoup l'avaient essayée avant moi à cet âge et avaient échoué. Mais le risque ne m’a pas fait peur et j'ai fait le grand saut. Je me suis dit : tu peux le faire ! J’ai toujours pu bien évaluer mes qualités, et je voulais simplement essayer quelque chose de nouveau. Arsenal a donné une chance à de nombreux jeunes joueurs et les a fait connaitre. Faire ce choix n’a donc pas été difficile.

DFB.de : En raison de votre passage à l'étranger, vous n'avez joué quatre matchs de Coupe jusqu'ici. Pourtant, vous totalisez déjà trois buts. Cette statistique est-elle suffisante pour le titre à Berlin ?

Gnabry : Si on y ajoute deux matchs et deux ou trois buts de ma part, alors ce serait une très bonne statistique. Et si nous pouvions soulever le trophée à Berlin, ce serait tout simplement parfait.

DFB.de : Que signifierait pour vous le titre de DFB-Pokal ?

Gnabry : Ce serait ma deuxième Coupe après ma première en Angleterre. C'est un titre pour lequel il faut travailler dur, on ne peut pas se permettre de faire un faux pas dans cette compétition. Ce serait un rêve d'en faire mon deuxième titre en Allemagne, après le titre de champion.

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