DFB.de présente régulièrement un joueur de l’équipe A pour lequel se profile un évèmenent extraordinaire. Aujourd’hui il s’agit de Emre Can qui avec le FC Liverpool affrontera avec le FC Arsenal actuellement en tête du classement (à partir de 21h en direct sur Sky).
Jürgen Klopp s’émerveille. Où gémit. Ça dépend. En tout cas du programme tendu du FC Liverpool : la nouvelle année anglaise ne s’annonce pas de tout repos. Alors que son ancien club le Borussia Dortmund a troqué l’hiver allemand contre le soleil de Dubaï et se prépare pour les matchs-retours, l’entraineur allemand est déjà en plein dedans. Le 2 janvier Liverpool perdait son match contre West Ham, trois jours plus tard le club remportait le trophée à Stoke City. Encore trois jours après il jouait match nul contre le club de quatrième division Exeter en FA Cup.
Les cinq jours jusqu’au match à domicile contre le FC Arsenal se soir (à partir de 21h, en direct sur Sky) ont dû paraître à Klopp comme des vacances. Sur le site internet de son club avait annoncé qu’en Angleterre n’il n’y avait que « Le foot, le foot, le foot » et que la plus grande différence entre la Premier League et la Bundesliga était le nombre de match. « Je le savait déjà avant, mais le ressenti est quand même différent » a dit Klopp.
Klopp : « Emre est un grand talent »
Un qui le ressent depuis près d’un an et demi c’est Emre Can et ces matchs à un rythme soutenu lui plaisent. À Liverpool a mûri pour devenir un des piliers de l’équipe et titulaire de l’équipe nationale. L’année passée il a été sélectionné trois fois pour la Mannschaft et il a marqué lors des championnats d’Europe en République Tchèque avec le maillot de l’équipe de moins de 21 ans. Et pendant que Klopp se plaint de ses nombreux blessés (« nous ne nous entrainons pas, nous nous régénérons ») Can est sa constante en milieu de terrain des Rouges.
L’ancien joueur du Bayern, qui a fêté ses 22 ans ce mardi, a dû ces derniers temps prendre plus de responsabilité puisque Jordan Henderson et James Milner manquent pour raison de blessure. Can repris volontiers de rôle de meneur et pris sa chance, il devint un élément central non seulement sur le terrain mais aussi sur le plan public. Can est le moteur intrépide d’une équipe chancelante, son engagement est infatigable. Les supporters de Liverpool l’ont surnommé « la Machine » et espèrent qu’il pourra bientôt remplacer le vide créé par la légende Steven Gerrard lors de son départ pour les États-Unis.
Can s’est épanoui sous la direction de Klopp, qui dit de lui : « Emre est un très bon joueur. Il a un grand talent. » Depuis que l’allemand a pris le commandement à Anfield Road, Can a toujours joué, à une exception près, les 90 minutes de jeu. Et maintenant l’entraineur veut emmener son joueur encore plus loin : « Il est encore jeune. Et comme tout jeune joueur il a encore beaucoup à apprendre. Nous parlons beaucoup ensemble. Et comme nous parlons la même langue, nos discussions sont plus fréquentes. » Un amour réciproque. « Il a par sa manière de jouer changé Liverpool », a dit Can à la Bild-Zeitung. « Il nous apprend le pressing et le contre-pressing – tout comme à Dortmund. C’est un jeu qui nous convient en tant qu’équipe, ça met nos adversaires en difficulté. » Dernièrement Can est entré en jeu cote à cote avec le meneur Henderson. Et ça a fonctionné. Une alternative de plus pour le coach Klopp, qui en manque de plus en plus, surtout avec la nouvelle blessure de Henderson.
Un programme intense pour les prochains jours
Klopp procure au FC Liverpool, qui n’a jamais été un club banal, encore plus de médiatisation, surtout en Allemagne. Ainsi qu’a Can qui a quitté l’Allemagne en 2014 pour tenter sa chance à l’étranger. « Les journaux allemands font plus de reportage sur Liverpool. Cela représente un avantage puisque dès que l’on parle de Klopp, je passe automatiquement dans le focus des journalistes. J’y suis tout le temps en arrière plan », annonce le natif de Francfort.
Ce soir Can rencontre Mesut Özil, son collègue en équipe nationale, qui actuellement excite la Premier League de par sa grande forme, ainsi que l’autre champion du monde Per Mertesacker. Dimanche ce sera au tour de Bastian Schweinsteiger et de Manchester United de venir à Anfield Road (à partir de 15h05, en direct sur Sky). La semaine des allemands se transforme en semaine de vérité, si le huitième au classement ne veut pas perdre la connexion, il lui faudra deux victoires. Manchester, qui est sixième – alors que la cinquième place autoriserait la participation à l’europa league – est à portée, alors que Arsenal en tête du classement semble irrattrapable. Lors de la riposte, Klopp mise sur Can, même tous les trois jours si le calendrier le requiert.
[mmc/cm]
DFB.de présente régulièrement un joueur de l’équipe A pour lequel se profile un évèmenent extraordinaire. Aujourd’hui il s’agit de Emre Can qui avec le FC Liverpool affrontera avec le FC Arsenal actuellement en tête du classement (à partir de 21h en direct sur Sky).
Jürgen Klopp s’émerveille. Où gémit. Ça dépend. En tout cas du programme tendu du FC Liverpool : la nouvelle année anglaise ne s’annonce pas de tout repos. Alors que son ancien club le Borussia Dortmund a troqué l’hiver allemand contre le soleil de Dubaï et se prépare pour les matchs-retours, l’entraineur allemand est déjà en plein dedans. Le 2 janvier Liverpool perdait son match contre West Ham, trois jours plus tard le club remportait le trophée à Stoke City. Encore trois jours après il jouait match nul contre le club de quatrième division Exeter en FA Cup.
Les cinq jours jusqu’au match à domicile contre le FC Arsenal se soir (à partir de 21h, en direct sur Sky) ont dû paraître à Klopp comme des vacances. Sur le site internet de son club avait annoncé qu’en Angleterre n’il n’y avait que « Le foot, le foot, le foot » et que la plus grande différence entre la Premier League et la Bundesliga était le nombre de match. « Je le savait déjà avant, mais le ressenti est quand même différent » a dit Klopp.
Klopp : « Emre est un grand talent »
Un qui le ressent depuis près d’un an et demi c’est Emre Can et ces matchs à un rythme soutenu lui plaisent. À Liverpool a mûri pour devenir un des piliers de l’équipe et titulaire de l’équipe nationale. L’année passée il a été sélectionné trois fois pour la Mannschaft et il a marqué lors des championnats d’Europe en République Tchèque avec le maillot de l’équipe de moins de 21 ans. Et pendant que Klopp se plaint de ses nombreux blessés (« nous ne nous entrainons pas, nous nous régénérons ») Can est sa constante en milieu de terrain des Rouges.
L’ancien joueur du Bayern, qui a fêté ses 22 ans ce mardi, a dû ces derniers temps prendre plus de responsabilité puisque Jordan Henderson et James Milner manquent pour raison de blessure. Can repris volontiers de rôle de meneur et pris sa chance, il devint un élément central non seulement sur le terrain mais aussi sur le plan public. Can est le moteur intrépide d’une équipe chancelante, son engagement est infatigable. Les supporters de Liverpool l’ont surnommé « la Machine » et espèrent qu’il pourra bientôt remplacer le vide créé par la légende Steven Gerrard lors de son départ pour les États-Unis.
Can s’est épanoui sous la direction de Klopp, qui dit de lui : « Emre est un très bon joueur. Il a un grand talent. » Depuis que l’allemand a pris le commandement à Anfield Road, Can a toujours joué, à une exception près, les 90 minutes de jeu. Et maintenant l’entraineur veut emmener son joueur encore plus loin : « Il est encore jeune. Et comme tout jeune joueur il a encore beaucoup à apprendre. Nous parlons beaucoup ensemble. Et comme nous parlons la même langue, nos discussions sont plus fréquentes. » Un amour réciproque. « Il a par sa manière de jouer changé Liverpool », a dit Can à la Bild-Zeitung. « Il nous apprend le pressing et le contre-pressing – tout comme à Dortmund. C’est un jeu qui nous convient en tant qu’équipe, ça met nos adversaires en difficulté. » Dernièrement Can est entré en jeu cote à cote avec le meneur Henderson. Et ça a fonctionné. Une alternative de plus pour le coach Klopp, qui en manque de plus en plus, surtout avec la nouvelle blessure de Henderson.
Un programme intense pour les prochains jours
Klopp procure au FC Liverpool, qui n’a jamais été un club banal, encore plus de médiatisation, surtout en Allemagne. Ainsi qu’a Can qui a quitté l’Allemagne en 2014 pour tenter sa chance à l’étranger. « Les journaux allemands font plus de reportage sur Liverpool. Cela représente un avantage puisque dès que l’on parle de Klopp, je passe automatiquement dans le focus des journalistes. J’y suis tout le temps en arrière plan », annonce le natif de Francfort.
Ce soir Can rencontre Mesut Özil, son collègue en équipe nationale, qui actuellement excite la Premier League de par sa grande forme, ainsi que l’autre champion du monde Per Mertesacker. Dimanche ce sera au tour de Bastian Schweinsteiger et de Manchester United de venir à Anfield Road (à partir de 15h05, en direct sur Sky). La semaine des allemands se transforme en semaine de vérité, si le huitième au classement ne veut pas perdre la connexion, il lui faudra deux victoires. Manchester, qui est sixième – alors que la cinquième place autoriserait la participation à l’europa league – est à portée, alors que Arsenal en tête du classement semble irrattrapable. Lors de la riposte, Klopp mise sur Can, même tous les trois jours si le calendrier le requiert.
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