À l’occasion de l’anniversaire des 100 ans de la DFB, une sélection de joueurs de légende ayant porté le maillot de la Nationalmannschaft ainsi que de l’ex RDA affrontera celle des légendes italiennes, au Sportpark Ronhof Thomas Sommer le 7 octobre prochain (18h).
C’est Berti Vogts qui sera chargé de diriger la sélection allemande. L’ancien joueur, vainqueur de l’EURO en 1972 et de la coupe du monde en 1974, était également présent dans le staff technique lors de la victoire au mondial italien en 1990.
L’ancien joueur du Borussia Mönchengladbach dont l’histoire est liée à celle de l’Italie : il était sur le terrain lors de la défaite légendaire (4-3) en demi-finale du mondial 1970 face à la Squadra Azzurra. « Nous étions si proches », s’est exprimé le coach. « Je revois encore Karl-Heinz Schnellinger égaliser juste avant le coup de sifflet final. La prolongation qui a suivi était à la fois spectaculaire et historique. L’Allemagne a pris l’avantage une première fois grâce à Gerd Müller, mais ce sont finalement les Italiens qui se sont imposés. Nous avons fait deux erreurs, et n’avons pas réussi à exploiter les chances que nous nous sommes crées.»
En espérant que la rencontre du mois d’octobre soit aussi riche en émotions.
À l’occasion de l’anniversaire des 100 ans de la DFB, une sélection de joueurs de légende ayant porté le maillot de la Nationalmannschaft ainsi que de l’ex RDA affrontera celle des légendes italiennes, au Sportpark Ronhof Thomas Sommer le 7 octobre prochain (18h).
C’est Berti Vogts qui sera chargé de diriger la sélection allemande. L’ancien joueur, vainqueur de l’EURO en 1972 et de la coupe du monde en 1974, était également présent dans le staff technique lors de la victoire au mondial italien en 1990.
L’ancien joueur du Borussia Mönchengladbach dont l’histoire est liée à celle de l’Italie : il était sur le terrain lors de la défaite légendaire (4-3) en demi-finale du mondial 1970 face à la Squadra Azzurra. « Nous étions si proches », s’est exprimé le coach. « Je revois encore Karl-Heinz Schnellinger égaliser juste avant le coup de sifflet final. La prolongation qui a suivi était à la fois spectaculaire et historique. L’Allemagne a pris l’avantage une première fois grâce à Gerd Müller, mais ce sont finalement les Italiens qui se sont imposés. Nous avons fait deux erreurs, et n’avons pas réussi à exploiter les chances que nous nous sommes crées.»
En espérant que la rencontre du mois d’octobre soit aussi riche en émotions.
