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Allemagne-Chili : Les données du match

Le sélectionneur : L’homme à la tête de l’équipe du Chili, depuis 2015, se nomme Jose Letelier. Le technicien de 53 ans compte derrière lui une carrière de gardien, à laquelle il mit un terme en 1997. Il entraîna cinq années entre 2010 et 2015 du côté du club chilien de Colo-Colo, avant d’être nommé sélectionneur de l’équipe nationale. Avec lui, le club de la capitale a remporté 10 titres de championnes du Chili consécutifs ainsi qu’une Copa Libertadores en 2012.

Neuf légionnaires : Le club le plus titré du Chili sera également celui le plus représenté parmi le groupe de 23 joueuses chiliennes à se rendre en France, avec 4 éléments. Au total, elles seront 9 joueuses issues de la Primera División femenina. Le reste du groupe évolue en Espagne ou Brésil, à l'exception de Maria Jose Rojas (Slavia Prague) et de la gardienne Christiane Endler (Paris Saint-Germain).

Disette : Le Chili a perdu 5 de ses 6 derniers matchs sur la scène internationale. Début avril, la troupe de Jose Letelier a toutefois tenu tête à l’Ecosse sur le score de 1-1. Il faut remonter au mois de mai 2011 pour retrouver la trace d’une aussi longue série (8 matchs sans victoire).

Friabilité : Lors de leurs 12 dernières rencontres internationales, les Chiliennes ont toujours au moins encaissé un but : 33 plus précisément, pour une piètre moyenne de 2,8 buts/match.

Mal du pays : Hors de leurs terres, l’équipe nationale du Chili ne compte qu’une seule victoire pour 10 défaites et un match nul. Leur dernier succès, les Chicas de Rojo l’ont obtenu le 10 novembre dernier face à aux Australiennes (3-2).



Les Allemandes débutent leur coupe du monde le 8 juin, face à la chine. Avant cela, les joueuses de la Nationalmannschaft ont droit à une répétition générale face au Chili aujourd’hui, à partir de 17h45 à Ratisbonne. C’est la première fois qu'elles rencontrent les sud-américaines.

Jubilé : Le Chili est le 50e adversaire auquel la Mannschaft va devoir faire face. La dernière fois que l’équipe avait dû affronter un nouvel adversaire, il s’agissait des Iles Féroé. La rencontre s’était soldée par une victoire nette (11-0).

Invaincues : L’Allemagne reste sur onze matchs sans défaite, dont neuf victoires. La dernière date de mars 2018, c’était face à la France (0-3), lors de la « She believes Cup ». Pour les Allemandes, c’est la plus longue série depuis presque cinq ans, lorsque l’équipe de Silvia Neid était restée invaincue 18 matchs entre juillet 2013 et septembre 2014.

Affamées : Lors des 11 derniers matchs, les joueuses allemandes trouvé 34 fois le chemin des filets, ce qui donne un total de 3,1 buts par match. Parmi ceux-ci, 21 ont été marqués en seconde période. Cette préférence pour les deuxièmes parties de match a même tendance à s’accentuer, puisque 14 des 18 dernières réalisations ont eu lieu après le retour des vestiaires.

Forteresse imprenable : À domicile, les Allemandes sont quasiment imbattables. La dernière défaite remonte au mois d’octobre 2014, face à l’Islande (2-3). Depuis la coupe du monde 2011, disputée à domicile, la sélection n’a connu que deux défaites, pour six nuls et trente victoires.

Le stade : La Continental-Arena de Ratisbonne, construite entre janvier 2014 et juillet 2015, permet d’accueillir 15.210 spectateurs. Depuis la saison 2015-16, c’est dans cette enceinte que le SSV Jahn Regensburg (2e division) dispute ses matchs à domicile.

Répétition : C’est la deuxième rencontre de la Nationalmannschaft qu’accueillera la Continental-Arena. La dernière fois, c’était face à l’Autriche, le 22 octobre 2016. (victoire 4-2).

L’adversaire : L’équipe de football féminine du Chili a disputé son premier match international le 28 avril 1991. Elle s’était alors inclinée 6-1 face à l’ogre du continent, le Brésil. Cette rencontre fut d’ailleurs la première de la sorte en Amérique du Sud à recevoir une homologation de la FIFA. Cet été en France, les Chicas de Rojo participeront au premier mondial de leur histoire. Leur ticket, les Chiliennes l’ont obtenu en terminant secondes (sur dix participantes) de la Copa America féminine organisée chez elles : un résultat historique. A mettre également au crédit de cette Roja feminina, une deuxième place (sur trois participantes) et deux podiums dans cette même compétition respectivement en 1991, 1995 et 2010.

Le sélectionneur : L’homme à la tête de l’équipe du Chili, depuis 2015, se nomme Jose Letelier. Le technicien de 53 ans compte derrière lui une carrière de gardien, à laquelle il mit un terme en 1997. Il entraîna cinq années entre 2010 et 2015 du côté du club chilien de Colo-Colo, avant d’être nommé sélectionneur de l’équipe nationale. Avec lui, le club de la capitale a remporté 10 titres de championnes du Chili consécutifs ainsi qu’une Copa Libertadores en 2012.

Neuf légionnaires : Le club le plus titré du Chili sera également celui le plus représenté parmi le groupe de 23 joueuses chiliennes à se rendre en France, avec 4 éléments. Au total, elles seront 9 joueuses issues de la Primera División femenina. Le reste du groupe évolue en Espagne ou Brésil, à l'exception de Maria Jose Rojas (Slavia Prague) et de la gardienne Christiane Endler (Paris Saint-Germain).

Disette : Le Chili a perdu 5 de ses 6 derniers matchs sur la scène internationale. Début avril, la troupe de Jose Letelier a toutefois tenu tête à l’Ecosse sur le score de 1-1. Il faut remonter au mois de mai 2011 pour retrouver la trace d’une aussi longue série (8 matchs sans victoire).

Friabilité : Lors de leurs 12 dernières rencontres internationales, les Chiliennes ont toujours au moins encaissé un but : 33 plus précisément, pour une piètre moyenne de 2,8 buts/match.

Mal du pays : Hors de leurs terres, l’équipe nationale du Chili ne compte qu’une seule victoire pour 10 défaites et un match nul. Leur dernier succès, les Chicas de Rojo l’ont obtenu le 10 novembre dernier face à aux Australiennes (3-2).