« La DFB a commis des erreurs dans sa gestion de l’affaire Özil », a déclaré le secrétaire général de la fédération allemande de football (DFB) Friedrich Curtius vendredi à Berlin, au cours d’une discussion avec 15 boursiers de la fondation Deutschland-Stiftung Integration.
« Une photo est devenue à elle seule un point de cristallisation pour beaucoup de sujets. Au moment où des propos racistes ont été tenus, nous avons raté le bon moment pour prendre la défense du joueur », a reconnu Curtius, qui a également évoqué les sujets du racisme ou du manque de diversité au sein des structures de la DFB. Fondée il y a 10 ans, la fondation Deutschland-Stiftung Integration a permis à un millier de jeunes migrants de s’insérer plus facilement sur le marché de l’emploi.
Jimmy Hartwig, ambassadeur de la DFB et triple champion d’Allemagne avec le SV Hambourg dans les années 80, était aussi présent à Berlin : « Le mot intégration est un terme extrêmement maladroit. Ce qui compte, c’est de faire en sorte que nous vivions dans le respect mutuel », a-t-il notamment déclaré.
La discussion aura ravi tous les participants, et une nouvelle rencontre est en cours de préparation.
[dfb]
« La DFB a commis des erreurs dans sa gestion de l’affaire Özil », a déclaré le secrétaire général de la fédération allemande de football (DFB) Friedrich Curtius vendredi à Berlin, au cours d’une discussion avec 15 boursiers de la fondation Deutschland-Stiftung Integration.
« Une photo est devenue à elle seule un point de cristallisation pour beaucoup de sujets. Au moment où des propos racistes ont été tenus, nous avons raté le bon moment pour prendre la défense du joueur », a reconnu Curtius, qui a également évoqué les sujets du racisme ou du manque de diversité au sein des structures de la DFB. Fondée il y a 10 ans, la fondation Deutschland-Stiftung Integration a permis à un millier de jeunes migrants de s’insérer plus facilement sur le marché de l’emploi.
Jimmy Hartwig, ambassadeur de la DFB et triple champion d’Allemagne avec le SV Hambourg dans les années 80, était aussi présent à Berlin : « Le mot intégration est un terme extrêmement maladroit. Ce qui compte, c’est de faire en sorte que nous vivions dans le respect mutuel », a-t-il notamment déclaré.
La discussion aura ravi tous les participants, et une nouvelle rencontre est en cours de préparation.
###more###
