Pour son deuxième match de la Coupe des confédérations, la Mannschaft et le Chili se sont neutralisés 1-1 (1-1) à Kazan. Lars Stindl (41e) a répondu à l’ouverture du score précoce d’Alexis Sanchez (6e). L’Allemagne reste deuxième du groupe B avec 4 points derrière le Chili (à la différence de buts), le Cameroun et l’Australie ayant eux 1 point chacun. Un match nul dimanche contre le Cameroun lors du dernier match de la phase de poule (17h, en direct sur ZDF) est suffisant pour atteindre les demi-finales.
Joachim Löw a procédé à quatre changements par rapport à la victoire 3-2 face à l’Australie. Marc-André ter Stegen remplace Bernd Leno dans les cages, Niklas Süle et Matthias Ginter intègrent l’équipe de départ et accompagnent Shkodran Mustafi dans une défense à trois, Emre Can prend place au milieu de terrain et Lars Stindl est aligné seul en pointe. Sandro Wagner, Julian Brandt, Antonio Rüdiger, titulaires lors du premier match, débutent le match sur le banc. Arturo Vidal et Alexis Sanchez sont alignés du côté du Chili.
Le Chili presse d’entrée les Allemands qui se montrent particulièrement fébriles en défense. Il ne faut pas attendre longtemps pour qu’ils soient punis sur une mauvaise relance dans l’axe de Mustafi ; Sanchez récupère le ballon, s’appuie sur Vidal qui lui remet en une touche et trompe ter Stegen avec l’aide du poteau (6e). Déjà dos au mur, la Mannschaft tente de réagir en mettant la main sur le ballon et en se procurant quelques occasions par l’intermédiaire de Draxler (8e), Stindl (15e) et Kimmich (17e). Les Chiliens restent malgré tout toujours dangereux en continuant d’exercer une forte pression et sont tout proche de doubler la mise après une frappe de Vargas sur la barre (20e).
Peu avant la pause, la défense allemande parvient à se sortir du pressing chilien, Can profite alors de l’espace libre pour avancer et servir Hector en profondeur sur le côté gauche, le latéral ajuste un centre en première intention parfait pour Lars Stindl qui devance les défenseurs et pousse le ballon au fond des filets (41e) pour son deuxième but en deux matchs dans la compétition. Marc-André ter Stegen sauve les siens dans le temps additionnel en se détendant parfaitement sur une frappe à ras de terre croisée de Sanchez (45+1e) et permet à la Mannschaft de rentrer aux vestiaires sur le score de 1-1.
Les hommes de Joachim Löw entament la seconde période avec de meilleures intentions en gardant le contrôle du ballon et en jouant plus haut. Ils ne parviennent néanmoins pas à obtenir de vraies situations de but tandis que les Chiliens procèdent en contre et obtiennent un dangereux coup franc frappé juste au-dessus des buts de ter Stegen par Sanchez (48e). Le rythme retombe peu à peu, Stindl se procure la seule occasion allemande en seconde période après un service de Rudy mais sa frappe n’inquiète pas Herrera (73e). Les deux équipes semblent alors se contenter du match nul et se quittent finalement sur un match nul 1-1. À noter que pour la première fois depuis le 6 septembre 1995 (4-1 contre la Géorgie à Nuremberg), il n’y a eu aucun changement au cours du match côté allemand.
[sid/js]
Pour son deuxième match de la Coupe des confédérations, la Mannschaft et le Chili se sont neutralisés 1-1 (1-1) à Kazan. Lars Stindl (41e) a répondu à l’ouverture du score précoce d’Alexis Sanchez (6e). L’Allemagne reste deuxième du groupe B avec 4 points derrière le Chili (à la différence de buts), le Cameroun et l’Australie ayant eux 1 point chacun. Un match nul dimanche contre le Cameroun lors du dernier match de la phase de poule (17h, en direct sur ZDF) est suffisant pour atteindre les demi-finales.
Joachim Löw a procédé à quatre changements par rapport à la victoire 3-2 face à l’Australie. Marc-André ter Stegen remplace Bernd Leno dans les cages, Niklas Süle et Matthias Ginter intègrent l’équipe de départ et accompagnent Shkodran Mustafi dans une défense à trois, Emre Can prend place au milieu de terrain et Lars Stindl est aligné seul en pointe. Sandro Wagner, Julian Brandt, Antonio Rüdiger, titulaires lors du premier match, débutent le match sur le banc. Arturo Vidal et Alexis Sanchez sont alignés du côté du Chili.
Le Chili presse d’entrée les Allemands qui se montrent particulièrement fébriles en défense. Il ne faut pas attendre longtemps pour qu’ils soient punis sur une mauvaise relance dans l’axe de Mustafi ; Sanchez récupère le ballon, s’appuie sur Vidal qui lui remet en une touche et trompe ter Stegen avec l’aide du poteau (6e). Déjà dos au mur, la Mannschaft tente de réagir en mettant la main sur le ballon et en se procurant quelques occasions par l’intermédiaire de Draxler (8e), Stindl (15e) et Kimmich (17e). Les Chiliens restent malgré tout toujours dangereux en continuant d’exercer une forte pression et sont tout proche de doubler la mise après une frappe de Vargas sur la barre (20e).
Peu avant la pause, la défense allemande parvient à se sortir du pressing chilien, Can profite alors de l’espace libre pour avancer et servir Hector en profondeur sur le côté gauche, le latéral ajuste un centre en première intention parfait pour Lars Stindl qui devance les défenseurs et pousse le ballon au fond des filets (41e) pour son deuxième but en deux matchs dans la compétition. Marc-André ter Stegen sauve les siens dans le temps additionnel en se détendant parfaitement sur une frappe à ras de terre croisée de Sanchez (45+1e) et permet à la Mannschaft de rentrer aux vestiaires sur le score de 1-1.
Les hommes de Joachim Löw entament la seconde période avec de meilleures intentions en gardant le contrôle du ballon et en jouant plus haut. Ils ne parviennent néanmoins pas à obtenir de vraies situations de but tandis que les Chiliens procèdent en contre et obtiennent un dangereux coup franc frappé juste au-dessus des buts de ter Stegen par Sanchez (48e). Le rythme retombe peu à peu, Stindl se procure la seule occasion allemande en seconde période après un service de Rudy mais sa frappe n’inquiète pas Herrera (73e). Les deux équipes semblent alors se contenter du match nul et se quittent finalement sur un match nul 1-1. À noter que pour la première fois depuis le 6 septembre 1995 (4-1 contre la Géorgie à Nuremberg), il n’y a eu aucun changement au cours du match côté allemand.
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